1. |
Quand ça monte
03:05
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Le miroir se casse, ça ne sert à rien
Et je suis celui que je n’ai jamais voulu être
Je faisais semblant je ne voulais pas te dire
Toutes ces voix qui résonnent / raisonnent
houhou hanhan houhou
Quand ça monte je redescends
plus bas pour m’en faire pour rien
J’ai envie de fondre / Je perds la tête
J’attendrai le jour ou je n’irai plus là bas
là ou je me sent comme tout les autres
Et j’irai faire semblant en ne voulant pas te dire
Je me sens comme personne / personne
Quand ça monte je redescends
plus bas pour m’en faire pour rien
J’ai envie de fondre / Je perds la tête
Quand ça monte je redescends
plus bas pour m’en faire pour rien
J’ai envie de fondre / Je perds la tête
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2. |
Mais tu n'existais pas
03:34
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Je brûlais les secondes
Condamné j’allais contre
J’ai pris la route de la transe
J’accumulais les sondes
J’étais loin du décompte
J’ai jamais su comment les étendre
Je te raconterai / Veux-tu fuir avec moi?
Je nous figerai à l’instant si tu crois
en tous mes secrets / Je veux compter sur toi
Je quitterai la Terre, mais tu n’existais pas
Je nageais dans le monde
J’ai jonglé les réponses
J’suis prisonnier de mes chances
Je te raconterai / Veux-tu fuir avec moi?
Je nous figerai à l’instant si tu crois
en tous mes secrets / Je veux compter sur toi
Je quitterai la Terre, mais tu n’existais pas
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3. |
Tu ne me connais pas
04:19
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De la poussière dans les yeux et tu me demandes
Deuxième degré si tu veux t’étais en avance
Et ça coule encore mieux les deux dans les yeux
Je recommençais, je recommençais
J’te faisais tourner autour de mes draps
Je te raconterai
J’allais peut-être, j’allais peut-être te dire
que tu retournerais d'où tu venais
Tu ne me connais pas..
J’ai mis ma tête dans un creux / J’ai payé l’amende
Trente-six degrés tous les deux les murs sont étanches
Et tout le monde prend feu les yeux dans les cieux
Je recommençais, je recommençais
J’te faisais tourner autour de mes draps
Je te raconterai
J’allais peut-être, j’allais peut-être te dire
que tu retournerais d'où tu venais
Tu ne me connais pas..
Tu ne me connais pas..
Tulutu tulu Tulutu tululu
Je recommençais, je recommençais
J’te faisais tourner autour de mes draps
Je capitulerai
J’allais peut-être, j’allais peut-être te dire
que tu retournerais d'où tu venais
Tu ne me connais pas..
Tu ne me connais pas..
Tu ne me connais pas
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4. |
Les murs bougent encore
03:22
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Je recommençais ma vie je tremble
Ils ne regardaient que moi
Et je tombe / J'atterris / Je contrôle
J’allais à l’encontre sans raison
L’instinct a pris le front
Et puis j’ai noyé ton absence
Les murs bougent encore / J’ai tendance
à oublier mon image de toi
Je faisais semblant j’étais en cendres
Ils ne regardaient que toi
Et je tombe / J'atterris / Je contrôle
J’allais à l’encontre sans raison
L’instinct a pris le front
Et puis j’ai noyé ton absence
Les murs bougent encore / J’ai tendance
à oublier mon image de toi
Et je remercie ma conscience
Les murs bougent encore et j’avance
sans regarder pour y croire
Et puis j’ai noyé ton absence
Les murs bougent encore / J’ai tendance
à oublier mon image de toi
Et je remercie ma conscience
Les murs bougent encore et j’avance
sans regarder pour y croire
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5. |
Personne
03:44
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J'ai vu le pire
J'allais comprendre
Je t'ai vu fondre
dans l'ignorance
À court de chance
Je me méfie
Tu plonges
Et je tombe
Oui, je perds
Je perds la cadence
Et la raison
Je vais t'attendre
Personne, tu n'es plus personne
Plus loin et encore plus loin
Au moins t’allais
Encore, encore et encore
Plus loin et encore plus loin
Tu me disais
Je te pardonne
Je peux comprendre
Tu voulais fondre
De tout ton corps
T'avais d'la chance
Je me suis dit
Tu plonges
et je sombre
Oui, je perds
Je perds la cadence
Et la raison
Je vais t'attendre
Et j'arrête
J'essaie de reprendre
Mais en vain
Je me fais prendre
Personne, tu n'es plus personne
Plus loin et encore plus loin
Au moins t’allais
Encore, encore et encore
Plus loin et encore plus loin
Tu me disais
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6. |
Et je cours
03:45
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Je ne sentais presque rien
Y’a cette angoisse qui vient souvent
Et je sautais entre tous remèdes
Hoo je les contemplais / Je les contemplais
Pour survivre / J’ai pris le pire
Et je cours
Je trouve mon compte encore loin
Je sais plus où m’arrêter
J’m’éloignais encore de l’instant
Et je cours
J’avais troué l’oreiller
Je sais plus à quoi rêver
J’essayais d’arrêter l’instant
Les tempêtes me font du bien
Y’a des quêtes de moi-même qui grondent
J’me suis prescrit tous les remèdes
Hoo je recommençais / Je recommence
Et je cours
Je trouve mon compte encore loin
Je sais plus où m’arrêter
J’m’éloignais encore de l’instant
Et je cours
J’avais troué l’oreiller
Je sais plus à quoi rêver
J’essayais d’arrêter l’instant
Et je cours
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7. |
La balle pour moi
04:15
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Je sursaute de n’plus te voir en moi
Et pourtant, j’aime le fait de te rendre
ce qui reste de toi
Devant chez toi, j’ai laissé tout le change qui traînait
sur la table / Elle disait…
Hé, quand tu dors / quand tu dors
tu te transformes en quoi?
Quand tu rentres tard / te souviens-tu de moi?
Je t’avais, tu m’avais compris haaa
Encore une fois t’as pris la balle pour moi
T’as bien compris je crois qu’c’est mieux comme ça
Et pourtant, j’aime le fait de te rendre
ce qui reste de moi
Devant chez moi, j’ai déposé les pièces du casse-tête de toi
Elles étaient dans ma chambre
Hé je t’ai fait croire / je t’ai fait voir
Je t’ai fait croire pour un instant
Hé je t’ai fait voir / je t’ai fait croire
Je t’ai fait voir pour un instant
Quand tu dors / quand tu dors
tu te transformes en quoi?
Quand tu rentres tard / te souviens-tu de moi?
Je t’avais, tu m’avais pensé haaa
Encore une fois t’as pris la balle pour moi
T’as pris la balle pour moi
T’as pris la balle pour moi
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8. |
Bunny
05:08
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Plus je monte / j’ai le vertige à chaque seconde
et puis j’oublie mes peines / Tu m’fais vieillir
quand même / quand même
Et je tombe / Tu m’fais souffrir / Je gronde
Et puis j’envie mes pairs / Je vais mourir
quand même / quand même
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Lucill Montreal, Québec
Lucill
(Raphaël Bussières) tapisse son univers
musical d'indie et de rock alternatif, qui se
défragmente en
touches psych folk.
Lucill, de sa voix posée, susurre des pièces sans détour qui dépeignent une réalité non polie et actuelle sur
trame inclusive.
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